Un résumé de la lugubre histoire de l’aspartame…

Publié le : 24 juin 20206 mins de lecture
1965 : dans les laboratoires de GD Searle, un chimiste découvre par accident l’aspartame tout en travaillant sur un médicament pour soigner les ulcères. Cette substance est 180 fois plus sucrée que le sucre, sans être calorique, quel rêve pour les industriels !
1967 : les premières expériences sont faites sur des singes et montrent déjà de grands risques de malaises, d’épilepsie et de mort.
1971 : le Dr John Olney, professeur de neuropathologie et de psychiatrie, ayant déjà démontré la dangerosité de glutamate monosodique, parvient à prouver que l’acide aspartique (composant de l’aspartame) provoque des trous dans le cerveau de jeunes souris !
1973 : Searle présente au FDA une centaine d’études où les tumeurs du cerveau observées chez les singes et des souris sont « oubliées ».
1974 : le 26 juillet, la FDA autorise l’aspartame comme additif, uniquement dans les aliments secs, malgré le manque d’études plus approfondies sur les résultats de Searle. Certaines personnes commencent alors à en consommer en France alors que la FDA met en suspens la mise sur le marché de l’aspartame. Toute une série de rapports et de personnes manipulées avec beaucoup d’argent a suivi, même Donald Rumsfeld ; aujourd’hui secrétaire à la défense aux Etats-Unis, s’en est mêlé dés 1977 et a joué un rôle capital pour imposer l’aspartame sur le marché en 1981…
1979 : malgré des rapports très inquiétants au sujet de la toxicité du méthanol, soit 10 % de l’aspartame, considéré comme un poison mortel depuis 1978, l’aspartame est alors introduit dans certains produits pharmaceutiques en France !
1980 : les sucrettes à base d’aspartame sont en vente dans toute l’Europe, sauf en Angleterre…
1981 : l’aspartame est autorisé dans certains produits alimentaires sous forme de poudre, dans les chewing-gums, les édulcorants de table (Nutrasweet aux Etats-Unis), des céréales, certains desserts, et cafés instantanés.
1983 : l’aspartame est autorisé dans les boissons gazeuses aux Etats-Unis puis en Angleterre.
1984 : la FDA autorise l’aspartame dans les suppléments de vitamines et en juillet une étude faite par The Journal of Applied Nutrition montre qu’à des températures élevées, l’aspartame se transforme plus rapidement en méthanol (peut-être est-ce là la raison de la mention sur les bouteilles « Servir très frais »).
1985 : le 1er octobre, Monsanto, le célèbre producteur d’hormones bovines, d’OGM et de pesticides comme le Round Up, achète Searle pour 2,7 milliards de dollars. Par la suite, l’aspartame est utilisé dans de plus en plus de produits, malgré les milliers de plaintes des consommateurs américains, les rapports se succèdent mais rien en France…
1995 : le Dr Betty Martini crée aux Etats-Unis Mission Possible International.
1997 : sortie du livre du Dr Russell Blaylock, « Excitotoxins : The Taste That Kills ».
1998 : Monsanto voudrait faire approuver le Néotame comme nouvel édulcorant ; 60 fois plus doux que l’aspartame et jusqu’à 13 000 fois plus doux que le sucre, autre produit chimique peu étudié et suspecté d’être aussi neurotoxique. En mai, une étude indépendante faite par l’université de Barcelone prouve encore la toxicité de l’aspartame mais on l’oublie vite… Et en octobre, on se rend compte que même certaines boissons autres que « light », « free » ou « sans sucre » contiennent aussi de l’aspartame car il coûte trois fois moins cher que le sucre. Il faut alors lire toutes les étiquettes !
2000 : Monsanto revend Nutrasweet à un groupe d’anciens directeurs de Monsanto (440 millions de dollars) et revend ses intérêts à Nutrasweet AG et Euro Aspartame (qui a même une usine dans le nord de la France). Depuis, cet additif n’a pas cessé d’être le plus controversé au monde.
2001 : sortie du plus gros livre sur l’aspartame du Dr H.J. Roberts, contenant plus de 1 000 pages : « Aspartame Disease : An Ignored Epidemic », contenant des centaines de témoignages et bouleversant.
2002 : le 9 juillet, le Néotame est autorisé dans certains pays.
2004 : en mai, un documentaire sur les effets secondaires de l’aspartame et du glutamate monosodique sort en DVD : « Sweet Misery : A Poisoned World », un documentaire extraordinaire réalisé par une victime de l’aspartame qui était atteinte de sclérose en plaques et qui avait douze taches dans le cerveau de différentes tailles, c’était en février 2002. Une fois désintoxiquée (il y a sept cliniques de désintoxication dans le monde mais aucune en Europe), cette personne a perdu 34 kilos, a quitté son fauteuil roulant et n’a presque plus de taches dans le cerveau. La mise officielle sur le marché de ce DVD est prévue pour décembre 2005. Ensuite suivra un autre documentaire dont le titre sera : « Sweet Remedy ». A suivre…
2005 : une étude italienne de l’Institut de Ramazzini de Bologne prouve que l’aspartame provoque des leucémies et des lymphomes, mais cela ne fait toujours pas les grands titres en France.Pendant qu’un magnifique article de 12 pages y a été consacré dans le magazine anglais « The Ecologist » en septembre 2005. Selon le magazine Nexus numéro 10, on a consommé 400 millions de kilos d’aspartame depuis sa mise sur le marché.

Quand aller voir un psychologue ?
À quoi servent les bas de contention ?

Plan du site